Maintenant que ZEturf propose une rubrique « mes favoris », comment l’utiliser au mieux ? Voici quelques exemples pour mieux prendre en notes les bons chevaux, et savoir quoi écrire dans les notes en question. Je vais vous donner ici mon propre fonctionnement, à titre d’exemple, que vous pouvez copier tout ou partie, vous réapproprier à votre propre sauce avec vos propres variantes. Tout d’abord, chers amis lecteurs, puisque vous avez une possibilité d’écrire quelque chose en notes, avec de l’espace, autant l’utiliser. Il faut que vous trouviez vous-même une manière claire de vous y retrouver. Pensez que, rapidement, si vous suivez les courses, vous n’aurez pas un, deux ou trois chevaux en notes, mais une dizaine, deux dizaines, trois dizaines… Et finalement très vite beaucoup plus encore. Donc, tout de suite, sur la première ligne de vos notes, précisez pourquoi vous avez pris ce cheval, juste en une formule courte, que vous étaierez ensuite. Par exemple, « à jouer uniquement si déferré » pour un trotteur, ou « à jouer uniquement sous la pluie » pour un galopeur.

Etre précis dans ses notes

Rentrons dans le détail, et commençons par les trotteurs. Moi, je prends en notes de fait tous les « gros », comprenez tous les trotteurs au départ d’un groupe I, qu’ils y aient bien couru ou non. Je précise « niveau groupe I » sur la fiche en précisant le nom du prix disputé et la date, de manière à retrouver plus tard cette référence. Pourquoi est-ce que je fais cela ? Dans l’espoir de retrouver plus tard l’un de ces chevaux au départ d’une course à un plus bas niveau. Le 15e du prix d’Amérique, même s’il a pu paraître très léger ce jour-là du fait de l’opposition, doit pouvoir se balader s’il court plus tard au niveau quinté, pardon, Ze5. Or, de nombreux parieurs tiennent compte de la musique dans leurs enjeux. S’ils voient que le cheval reste sur plusieurs contre-performances, ils ne le jouent pas. La cote est donc relativement élevée. Alors qu’un cheval qui descend de niveau retrouve de fait des conditions d’engagements qui peuvent lui permettre de briller. Ensuite, en regardant les courses, surtout maintenant que l’on peut profiter de ce service en ligne en direct sur ZEturf. Un trotteur qui rate son départ et qui revient bien pour finir à mi-peloton ou « en tête des battus » est intéressant, car il a le potentiel pour gagner dans la même catégorie. Là, sur votre case « mes favoris », il faut inscrire quelque chose comme « course D, Vincennes, 2700 mètres, 7 juillet 2012 », qui vous permette de le jouer s’il réapparaît dans les 5-6 semaines qui suivent dans les mêmes conditions. En revanche, au-delà de ce délai, ou à un niveau plus élevé, ou dans des conditions différentes, restez prudent, et analysez bien les nouvelles données par rapport aux précédentes. Idem pour le trotteur qui semble avoir course gagnée lorsqu’il se met à la faute : celui-là, comme on dit dans le jargon hippique, son « jour est proche ». Toujours pour les trotteurs, certains sont de purs droitiers d’autres de purs gauchers, pensez à l’indiquer dans vos notes.

Penser à indiquer les valeurs de compétitivité

Pour les galopeurs, vous seriez bien inspiré d’essayer de cerner la compétitivité du cheval par rapport à sa valeur. Ainsi, dans la prise de notes, quelque chose comme « compétitif en 40 de valeur » vous servira à chaque fois que vous reverrez le cheval en question, car vous saurez alors s’il faut le garder ou l’éliminer. Deux facteurs sont très importants dans le galop sinon, à savoir l’état du terrain, et la distance. Plus un troisième désormais, à savoir la piste (sable fibré ou herbe). Pensez donc bien à indiquer autant que vous le pouvez, que votre cheval pris en notes est « compétitif en 40 de valeur, sur 1600-2000 mètres, herbe, sec ou bon, n’aime pas la pluie ». Vous verrez, une telle note peut vous servir longtemps, même un an plus tard… A l’inverse, vous pouvez aussi prendre en notes des « interdits », des chevaux que vous ne jouerez jamais car vous les considérez trop peu fiables dans certaines conditions. Ça aussi, ça vous sert. Par exemple au trot « souvent fautif, ne jamais prendre en base ». Ou « ne tourne pas à droite ». Ou encore « a toujours besoin de trois courses de rentrée avant de carburer ». Au galop « ne sait pas revenir de l’arrière » (une note comme celle-là vous servira à éliminer le cheval si vous le voyez avec un gros numéro de corde)… En fait, pour résumer, soyez déjà attentifs en regardant les courses. Vous n’aurez pas obligatoirement des chevaux à prendre en notes à chaque fois. L’important dans vos notes, avant tout, n’est pas de les multiplier (ça, ça viendra tout seul…), mais qu’elles soient justes. Qu’elles vous servent à bon escient ensuite. En savoir plus :http://www.zegagnant.com/avec-mes-favoris-zeturf-inaugure-la-prise-de-notes-personnalisee (comment prendre en notes sur ZEturf d’un point de vue technique). Vous voulez d’autres conseils de jeux ? Vous les trouverez sur http://www.zegagnant.com/category/conseilsdejeux."/>
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Actualités hippiques

Les chevaux à prendre en notes

07/07/2012
image Les chevaux à prendre en notes

 

Maintenant que ZEturf propose une rubrique « mes favoris », comment l’utiliser au mieux ? Voici quelques exemples pour mieux prendre en notes les bons chevaux, et savoir quoi écrire dans les notes en question.

Je vais vous donner ici mon propre fonctionnement, à titre d’exemple, que vous pouvez copier tout ou partie, vous réapproprier à votre propre sauce avec vos propres variantes.

Tout d’abord, chers amis lecteurs, puisque vous avez une possibilité d’écrire quelque chose en notes, avec de l’espace, autant l’utiliser. Il faut que vous trouviez vous-même une manière claire de vous y retrouver. Pensez que, rapidement, si vous suivez les courses, vous n’aurez pas un, deux ou trois chevaux en notes, mais une dizaine, deux dizaines, trois dizaines… Et finalement très vite beaucoup plus encore. Donc, tout de suite, sur la première ligne de vos notes, précisez pourquoi vous avez pris ce cheval, juste en une formule courte, que vous étaierez ensuite. Par exemple, « à jouer uniquement si déferré » pour un trotteur, ou « à jouer uniquement sous la pluie » pour un galopeur.

Etre précis dans ses notes

Rentrons dans le détail, et commençons par les trotteurs. Moi, je prends en notes de fait tous les « gros », comprenez tous les trotteurs au départ d’un groupe I, qu’ils y aient bien couru ou non. Je précise « niveau groupe I » sur la fiche en précisant le nom du prix disputé et la date, de manière à retrouver plus tard cette référence. Pourquoi est-ce que je fais cela ? Dans l’espoir de retrouver plus tard l’un de ces chevaux au départ d’une course à un plus bas niveau. Le 15e du prix d’Amérique, même s’il a pu paraître très léger ce jour-là du fait de l’opposition, doit pouvoir se balader s’il court plus tard au niveau quinté, pardon, Ze5. Or, de nombreux parieurs tiennent compte de la musique dans leurs enjeux. S’ils voient que le cheval reste sur plusieurs contre-performances, ils ne le jouent pas. La cote est donc relativement élevée. Alors qu’un cheval qui descend de niveau retrouve de fait des conditions d’engagements qui peuvent lui permettre de briller.

Ensuite, en regardant les courses, surtout maintenant que l’on peut profiter de ce service en ligne en direct sur ZEturf. Un trotteur qui rate son départ et qui revient bien pour finir à mi-peloton ou « en tête des battus » est intéressant, car il a le potentiel pour gagner dans la même catégorie. Là, sur votre case « mes favoris », il faut inscrire quelque chose comme « course D, Vincennes, 2700 mètres, 7 juillet 2012 », qui vous permette de le jouer s’il réapparaît dans les 5-6 semaines qui suivent dans les mêmes conditions. En revanche, au-delà de ce délai, ou à un niveau plus élevé, ou dans des conditions différentes, restez prudent, et analysez bien les nouvelles données par rapport aux précédentes. Idem pour le trotteur qui semble avoir course gagnée lorsqu’il se met à la faute : celui-là, comme on dit dans le jargon hippique, son « jour est proche ».

Toujours pour les trotteurs, certains sont de purs droitiers d’autres de purs gauchers, pensez à l’indiquer dans vos notes.

Penser à indiquer les valeurs de compétitivité

Pour les galopeurs, vous seriez bien inspiré d’essayer de cerner la compétitivité du cheval par rapport à sa valeur. Ainsi, dans la prise de notes, quelque chose comme « compétitif en 40 de valeur » vous servira à chaque fois que vous reverrez le cheval en question, car vous saurez alors s’il faut le garder ou l’éliminer. Deux facteurs sont très importants dans le galop sinon, à savoir l’état du terrain, et la distance. Plus un troisième désormais, à savoir la piste (sable fibré ou herbe). Pensez donc bien à indiquer autant que vous le pouvez, que votre cheval pris en notes est « compétitif en 40 de valeur, sur 1600-2000 mètres, herbe, sec ou bon, n’aime pas la pluie ». Vous verrez, une telle note peut vous servir longtemps, même un an plus tard…

A l’inverse, vous pouvez aussi prendre en notes des « interdits », des chevaux que vous ne jouerez jamais car vous les considérez trop peu fiables dans certaines conditions. Ça aussi, ça vous sert. Par exemple au trot « souvent fautif, ne jamais prendre en base ». Ou « ne tourne pas à droite ». Ou encore « a toujours besoin de trois courses de rentrée avant de carburer ». Au galop « ne sait pas revenir de l’arrière » (une note comme celle-là vous servira à éliminer le cheval si vous le voyez avec un gros numéro de corde)…

En fait, pour résumer, soyez déjà attentifs en regardant les courses. Vous n’aurez pas obligatoirement des chevaux à prendre en notes à chaque fois. L’important dans vos notes, avant tout, n’est pas de les multiplier (ça, ça viendra tout seul…), mais qu’elles soient justes. Qu’elles vous servent à bon escient ensuite.