Vous êtes nombreux à être avides de méthodes de jeux. L’une d’entre elle, appelée la montante, consiste à parier à chaque course plus que sur la précédente, jusqu’à espérer décrocher le pactole. Personnellement, je lui trouve des limites. En fait, cette méthode est directement issue d’un jeu finalement fort peu hippique, émanant du casino, la roulette. En pariant à chaque fois le double jusqu’au gain, on devient mathématiquement gagnant. Le problème consiste à savoir où s’arrêter, à connaître ses propres ressources, pour ne pas avoir une cruelle désillusion au bout. Ce qui est donc déjà peu satisfaisant pour le casino l’est à mon sens encore moins pour les courses hippiques. Car avec cette méthode, on laisse de côté tout l’aspect étude des courses, choix des chevaux sur lesquels on veut parier, et donc choix des courses sur lesquelles on porte son dévolu. Le turfiste, par définition, étudie le programme des réunions pour choisir les courses sur lesquelles il parie. C’est même là le charme des courses hippiques : le raisonnement, parfois avec le hasard qui s’en mêle certes, mais à la base le raisonnement. L’aspect « mécanique » de la montante peut à mon sens non seulement valoir de lourdes pertes, mais en plus retire l’attrait du jeu pour les courses hippiques. Autre point, là où, à la roulette, on peut jouer à quitte ou double à chaque fois (noir-rouge, passe-manque, etc.), le turf, lui, propose des cotes, de multiples engagés, et donc finalement bien peu de possibilités de reproduire le schéma du casino. Le mieux reste encore de « faire le papier » et de faire comme les entraîneurs avec leurs bons chevaux, de « viser une course » où l’on se sent à l’aise. Vous voulez d’autres conseils de jeux ? Vous les trouverez sur http://www.zegagnant.com/category/conseilsdejeux."/>
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Actualités hippiques

La montante, une méthode finalement bien peu hippique

07/06/2012
image La montante, une méthode finalement bien peu hippique

 

Vous êtes nombreux à être avides de méthodes de jeux. L’une d’entre elle, appelée la montante, consiste à parier à chaque course plus que sur la précédente, jusqu’à espérer décrocher le pactole. Personnellement, je lui trouve des limites.

En fait, cette méthode est directement issue d’un jeu finalement fort peu hippique, émanant du casino, la roulette. En pariant à chaque fois le double jusqu’au gain, on devient mathématiquement gagnant. Le problème consiste à savoir où s’arrêter, à connaître ses propres ressources, pour ne pas avoir une cruelle désillusion au bout.

Ce qui est donc déjà peu satisfaisant pour le casino l’est à mon sens encore moins pour les courses hippiques. Car avec cette méthode, on laisse de côté tout l’aspect étude des courses, choix des chevaux sur lesquels on veut parier, et donc choix des courses sur lesquelles on porte son dévolu. Le turfiste, par définition, étudie le programme des réunions pour choisir les courses sur lesquelles il parie. C’est même là le charme des courses hippiques : le raisonnement, parfois avec le hasard qui s’en mêle certes, mais à la base le raisonnement.

L’aspect « mécanique » de la montante peut à mon sens non seulement valoir de lourdes pertes, mais en plus retire l’attrait du jeu pour les courses hippiques. Autre point, là où, à la roulette, on peut jouer à quitte ou double à chaque fois (noir-rouge, passe-manque, etc.), le turf, lui, propose des cotes, de multiples engagés, et donc finalement bien peu de possibilités de reproduire le schéma du casino.

Le mieux reste encore de « faire le papier » et de faire comme les entraîneurs avec leurs bons chevaux, de « viser une course » où l’on se sent à l’aise.