Comment parier sur une course préparatoire
24/08/2011
Vous regardez le programme de la journée de courses à venir et tout à coup vous vous rendez compte que tous les meilleurs d’une catégorie se retrouvent dans l’une d’elle, alors que cette course ne vous semblait pas si importante que cela… En fait, il s’agit très vraisemblablement de ce que l’on appelle une course préparatoire, c’est-à-dire avec la majorité des postulants à un événement à venir quelques semaines plus tard. Mais alors, vous vous posez la question : comment parier sur une telle épreuve ? Faut-il prendre en compte la valeur des chevaux, que l’on connaît bien, ou alors le fait que la course ne soit qu’une préparation à une autre ? Hé bien, vous avez mis le doigt dessus, c’est là toute la difficulté de ce genre de compétitions.Déjà, je pense qu’il convient de se débarrasser de ses préjugés que l’on peut avoir par rapport à ces concurrents que l’on pense connaître, et faire un papier le plus strict possible. Regarder (grâce à l’outil ZEturf Pro par exemple) dans les courses passées de chaque concurrents ceux qui ont déjà couru dans des préparatoires, et voir ainsi s’ils les courent pour les gagner, ou juste pour trottiner et se mettre en forme pour le jour J. Dans ce papier strict, on n’oubliera pas de regarder dans état de forme sont ceux qui ont a priori une valeur intrinsèque inférieure, mais qui eux viseront cette course et non la suivante. La vérité se situe dans une synthèse entre ces deux types de candidats.
La vitesse peut suffire
Pour être plus précis, je pense qu’il faut détacher, parmi ceux qui sont intrinsèquement au-dessus du lot, les concurrents qui sont si bons qu’ils sont capables de réussir sans trop se fatiguer, par exemple en trot les chevaux extrêmement rapides, qu’un driver habile peut préserver jusqu’à la ligne droite finale pour ne les laisser aller qu’à cet effort, le sprint final.Dans le passé, le grand spécialiste des bons classements obtenus dans les préparatoires sans trop fournir d’efforts était Général du Pommeau. Mais il faut dire que la vitesse, c’était vraiment son truc ! Si l’on regarde les trotteurs d’aujourd’hui, moi j’aurais tendance à systématiquement bien positionner dans un pari, course préparatoire ou non, Scipion du Goutier. Celui-là, il va vraiment très vite dans le final, et c’est peut-être plus dur pour le driver de le retenir que de le laisser aller ! Allez, je plaisante bien sûr, un driver qui retient son cheval, ça n’existe pas, d’ailleurs c’est interdit par le code des courses…Notre photo : grâce à sa très grande vitesse finale, Général du Pommeau obtenait de bons résultats dans les courses préparatoires sans trop se fatiguer pour les engagements suivants.En savoir plus : http://www.zegagnant.com/tag/zeturf-pro/ (liste des articles où l’utilisation de ZEturf Pro est expliquée).Vous voulez d’autres conseils de jeux ? Vous les trouverez sur http://www.zegagnant.com/category/conseilsdejeux/.