Il était une fois Grosbois et Vincennes
19/01/2011
J’ai donc appelé Gérard, pour qu’il nous raconte : « Le rendez-vous était fixé dès 7h15 à la gare de Lyon. Là , une super navette « officiel jockeys », celle qui prend les jockeys en fait, est venue nous chercher pour nous conduire à Grosbois. Déjà dans la navette, les premières explications nous ont été données, quant au programme de notre journée et ce que nous allions découvrir. Tout au long de la journée, nous avons été accompagnés, guidés, avec Thomas de Infos-Courses, la sublime Claire Toutain… Arrivés à Grosbois, nous avons été accueillis par Jean-Lou Peupion et son fils Mikaël. Ils nous ont tout expliqué, ont répondu à toutes nos questions. Moi, je leur ai demandé comment ils établissaient le programme de courses des chevaux, d’autres ont eu des questions davantage de profanes, mais toutes les réponses m’ont intéressé, il y avait toujours le « petit plus » du professionnel dedans. On a parlé de l’évolution des courses, du fait qu’il y en ait davantage, comment ils géraient cela avec leur écurie de trotteurs. Jean-Lou Peupion a aussi constaté que les propriétaires actuels sont moins passionnés qu’avant, réclament plus de rendement. De fait, les chevaux courent jeunes, parfois trop jeunes à son goût. Au niveau de la visite, j’ai remarqué ces cahiers, un par cheval, où tout est noté, pour qu’ils soient entraînés à la perfection. Et puis j’ai apprécié cette ambiance de bonne humeur, tout le monde se connaît à Grosbois. Les entraîneurs et drivers sont concurrents, mais solidaires, appartenant au même microcosme. Ah, j’allais oublié, j’ai été impressionné par le spa particulier réservé à Scipion du Goutier : un spa pour un cheval ! Mais c’est vrai qu’il est bon celui-là … »
Après Grosbois, il y a eu Vincennes même, vu par les coulisses, du côté des boxes des chevaux, des balances… Puis un restaurant « réellement VIP » confie encore Gérard, en présence de Benjamin et Florent, représentant ZEturf. Il restait encore les courses, le fameux prix de Belgique (« on nous avait prévenu que Maharajah serait dur à battre »), ou encore plus tard le prix Ténor de Baune (« et dire que je n’ai pas cru au tuyau quand on m’a parlé du futur vainqueur à 41/1 ! »)… Que de souvenirs pour Gérard et les cinq autres lauréats, pas prêts d’oublier leur journée à Grosbois puis Vincennes.
Notre photo montre les lauréats du concours ZEturf et leurs accompagnateurs, à Grosbois. Nous la devons Ã